Die hard : une belle journée pour mourir

de John Moore

John Mclane, flic de New York, est sans nouvelles de son fils depuis des mois. Alors, lorsque un de ses collègues lui annonce qu'il est retenu prisonnier à Moscou, il ne prend pas le temps de réfléchir et saute dans un avion pour le sortir des griffes des soviets.

John McLane. Aaah John Mclane... il faut t'aimer pour te suivre dans le trafic du périph moscovite. D'ailleurs, c'est quoi cette course poursuite interminable ? J'en suis même venue à commencer à compter les bagnoles que vous avez bousillées. C'est pour te dire ! Mais qu'eeeeeest-ce que tu nous fais là ? Sérieux ! On a l'impression que tu tiens un espèce de second rôle où tu te crois obligé de faire des vannes plus pourries les unes que les autres pour prouver que tu es là. Le réalisateur t'a invité dans son film pour que ton nom attire le spectateur où quoi ? C'est vraiment à se demander vu le décalage de ton personnage qu'il pousse à faire des stupidités. Remarque tes actions ne sont pas plus ridicules que dans les premiers épisodes mais je sais pas, c'est pas pareil. Là, ça ne passe pas. Du coup, on s'attarde sur les nombreuses incohérences. On subit tout autant les toutes aussi nombreuses longueurs. On se navre de tes monologues qui d'habitude font mouche, et là flop. Mais tu sais quoi ? En souvenir des bons moments des épisodes précédents, je t'ai quand même kiffé. Et lorsque tu seras à nouveau à l'affiche dans quelques années, il y a de trèèèèès fortes chances que je réponde présente. Oui, je sais, c'est pathétique.